et architecturaux. Cependant, « les rossignols » du Garabagh
continuent à chanter. Toutefois aujourd’hui, le chagrin et la
douleur se font sentir dans leur interprétation.
Le monde se globalise. Les changements se produisent à la
vitesse de l’éclair dans ce monde globalisé. Nous, tous ensemble
sur notre planète, nous devons créer la base du développement de
l’avenir. Toutes les nouveautés doivent étroitement être liées aux
traditions. Seulement grâce à la force d’influence des traditions,
tout en gardant des archétypes culturels traditionnels de tous
les peuples, nous pourrons créer ce nouveau monde, où il sera
possible de maintenir, faire vivre et développer ces traditions.
La convention de l’UNESCO pour la protection du patrimoine
oral et immatériel de l’humanité répond justement à ces
objectifs. Le projet « Khanendé du Garabagh » pourrait être
une contribution solide à la sauvegarde et à l’enrichissement des
traditions musicales.
Ambassadrice de bonne volonté de l’UNESCO
Mehriban Aliyeva